Imaginaire... et psychologie/psychiatrie (tant qu'à faire)

=) Puisque Silverfire voulait continuer la discussion...

Avant toute chose, mon avis n'est pas celui de tout le monde encore heurex d'ailleurs, je pense, mais c'est d'un: un rssenti personnel, et de deux: ça me vient aussi des cours divers sur la psychiatrie que j'ai emprunté à ma mère -notamment pour me permettre d'écrire des nouvelles =)

Comme on a aborder l'iamginaire, tout à l'heure, et que j'ai légèrement évoquer que por moi, ça pouait être un énorme danger de se refugier dans son monde imaginaire..; =)

Première raison:
^_^ Eh, vous parlez à une fille qui a subit le joyeux jeu des gosses de primaire et de collège, l'exclusion. Qu'ai-je donc fait? M'enfermer dans mon imagination...
Et j'ai toujours eu un imaginaire très sombre. Ca m'a parfois rendue violente, j'ai un caractère sanguin, certe, mais ça ne m'a pas aider.Et puis, s'enfermer, rester dans son monde, ça incite pas mal de monde à continuer le petit jeu de "mettons là à part". Je sens que certains vont se dire "pourtant, j'suis sûr que c'est pas à cause de ça, c'est parce que les gens sont pas beaux" (j'adore caricaturer si vous n'aviez pas remarquer =P) Mais à aler trop souvent dans son monde, on ne veut plus aller parler aux autres sans revêtir une autre inedntité. Et dans la vie réelle, cmment fairepour revêtir une autre identité, à part jouer un jeu assez violent de masques? (quand je dis qu'il est violent, il est violet mentalement, c'est terriblement dur de se faire passer pour ce que l'on est pas. Vous savez, j'aipasser pas mal de temps à passer pour la "petite fille joyeuse, fofolle et hystérique" alors que j'étais dans une bonne dépression... ^^" mas on s'en fiche de ma vie! X3)
Après, certains me diront aussi que ça ne changera rien, qu'eux réussissent à voir la différence, mais à force, elle va être de plus en plus dure, entre ce "soi" imaginaire et ce "soi" réel ^_^

Avoir un monde imaginaire, c'est bien. Mais s'y enfermer quand on se sent mal/au moindre choc, c'est largement moins bien. On peut être solitaire de nature (j'en suis un exemple flagran dans la vie réelle, voui) mais il faut quand même aller un minimum vers les gens. Parce que tant qu'on s'enferme dans un cercle vicieux ed "ils ne veulent pas apprendre à me connaitre donc je fais apreil, tout ça à cause de mon physique ou de mes manies", personne ne s'en sort jamais =)
Plutôt que d'être souvent, en pleine journée, hors du monde, autant écrire, construire cet "hors monde" et le présenter à d'autres, qui apprendront à vous connaitre. ^_^

(je sens que mes proossont décousus XD)

Alors, deuxièmement, j'ai bien envie daborder un aspect plus psychiatrique de la chose, mais je rapelle que je ne sus pas une experte, certaines choses dites sont peut-être aproximative X3

L'univers dans le crâne en psychiatrie... C'est peut-être un des points les plus imprtant de certaines maladies, eh voui.

Ce dont je veux parler, ce sont les troubles psychotiques. X3 Une bonne définition et quelques exemples se trouvent là.
Bon, excepté l'utilisation du terme "large", les troubles psychotiques vous font croire que ce que vous voyez, ce que vous vivez est réel. Plutôt problématique, d'ailleurs, pour les infirmiers qui doivent s'occuper de vous, puisqu'ils ne savent pas du tout ce que vous voyez...
C'est une autre forme d'enfermement dans son monde. Même si le patient atteint de troubles psycotiques à des périodes de lucidité, quand survient la crise, impossible de prévoir ce qu'il verra. Il retourne vers un "monde" que soncerveua concocte pour lui.

Tiens, d'ailleurs, c'est pas uniquement parce que je suis fan (même si je le suis, na!), mais le film The Wall retrace terriblement bien de l'intérieur un descente dans la folie qui ressemblent à une description interne de la schyzophrénie (ce mot est terrible à écrire @_@)

Blabla, j'ai fini, vous pouvez dire que vous n'êtes pas d'accord, rajouter des choses, Silverfire, interviens je te pries, et...

Et j'arrête là parce que je cause vraiment trop @_@
*s'en va retourner à ses recherches*

OK Bienvenue au club des solitaires à l'agonie. Beaucoup de choses sont vrai dans ce que tu dis. Je trouve ce sujet passionant car interminable. On n'aura jamais finis d'explorer l'esprit humain.
Enfin bref...

Les mondes imaginaires sont un piège, c'est sûr mais en même temps... qui arrive à s'en passer (lever le doigt dans l'assemblé)
Personellement, j'ai mis tant de temps à les construire qu'il font partie de moi. Mais justemment, je voudrais les partager ! Les faire découvrir à d'autre. C'est là que l'écriture et surtout le dessin interviennent. Parcequ'il sont la base directe ou indirecte de toute mes créations. Bien sûr, il n'y a pas vraiment de fleurs bleues. Mais des reflexions partant de massacre. Il n'y a qu'a lire les larmes de l'ange pour voir que c'est pas de l'eau de rose. Donc le monde imaginaire n'est pas à bannir totalement (d'après moi) du moins, je sais que pour ma part, je ne peux pas m'en passer.
Par contre, s'y enfermé au delà du raisonnable est effectivement dangereux et je suis bien d'accord avec toi Lumeha. Les pertes de réalités, la schyzophrénie... si on finit par trop s'identifier à ses mondes on sombre dans la folie ou simplement on est ailleurs, on traverses la rue et on voit pas la voiture arrivée... J'avoue qu'à une époque j'ai eu peur d'en arriver à la et j'ai été obligé de barriquader tout mes rêves. Aujourd'hui je les réaprivoise petit à petit. Mais je veille à laisser une forte délimitation. Très important la frontière du réel et de l'iréel. C'est cette limite qu'il ne faut jamais oublier. Et c'est d'après moi le plus grand danger. Pour ma part, je m'immagine le passage comme l'ouverture d'une porte que je dois laisser entrouverte afin de toujours faire le passage rapidement.
Je crois que ce serais du fait de trop s'habituer à rester dans les monde de plus en plus souvent qu'un beau jour on finit par y rester definitivement, la porte se referme... OK la je délire. Mais j'ai besoin de dissocier totalement ses deux mondes.
Je ne pense pas fausser le jeu par rapport à mon entourage et mes rêves. De toute façon ils s'apercoivent très vite que je suis utopique et dépressive. Je conçoie l'exploration de mes mondes comme l'exploration de mon propre interieur. Je sais que tout est inspiré de mon vécu et donc, si j'arrive à interprété ce que j'invente des fois je trouve de vagues réponse. C'est comme étudier la mythologie : ce que les gens invente sont les reflets de leur peurs, leur envies, leurs colères etc. ça, j'en suis convaincu.
Donc : mondes imaginaires d'accord, mais avec précaution et raison.

Mouai, mouai... moi aussi je me suis emportée. Si quelqu'un veut nous faire partager son point de vue, il est le bienvenue.

J'aurais beaucoup de choses à dire la dessus, mais je préfère ne pas trop en parler, parceque vouss décrivez assez bien ce que vous ressentez à ce sujet et que je ne ferais que vous répeter inutilement. Ensuite on me l'a dit il y a pas longtemps d'ailleurs, sors de ta bulle et remet tes pieds sur terre. Là je me dit, finalement à part ma bulle artistique dans laquelles je me suis fourée, mon petits monde à moi, est-ce qu'il y a quelque chose de beau qui m'attends sur terre, permétez moi d'en douter, c'est très bien de faire la séparation mais je ne suis pas sur qu'une séparation égale entre les deux me plaise, travailler un peu ok, aller vers les gens... Je veux bien j'ai fait quelques rencontres exeptionnelles, mais j'ai aussi rencointré des gens qui m'ont répugnés ou qui m'ont fait souffrir alors je préfère limiter mes éfforts vers "la réalité" si belle de la vie... C'est mon point de vue, il est sans doute impulsif et infantile, mais bon...

Perso je trouve ça un peu normal comme réaction. Mais d'un autre coté, si tout le monde reste dans sa bulle, ça explique pas mal de chose concernant notre monde. Je pourrais dire qu'il y a un sacré manque de communication... tout en étant moi-même le plus bel exemple de solitaire qui prfère rester dans son coin. D'un côté je veut qu'on me foute la paix et d'un autre j'ai envie de parler. Pas facile. Comme tu dis il y a des ordures mais il parfois les gens sont géniaux et on ne regrette pas.